Caracol Album
Caracol, minimal, électronique et brut d’énergie
à la fois modern et old-school…
ONLY FOR DJ’S
Un vrai coup de maître !
FNAC.COM
Caracol est le plus radical des (ses) trois (albums). Très orienté
vers la piste de danse. On y sent clairement les influences de Villalobos, de
Luciano, de toute cette vague minimal terriblement groovy qui a reveillé
l'Allemagne ces cinq dernières années. Il partage avec eux des
racines latines et cette passion du morceau qui vous emporte sans comprendre
pourquoi
FRANCE INTER (Odile de Plas)
Un exercice de style sexy et minimal. Ou comment tailler un disque pour le dancefloor
en gardant élégance et qualité…
MUSIQUALITE
On le suit, on le guette, on l’attend. Et puis, surtout on est jamais
déçu…
ROCK&FOLK
Tout le background de l’aguerri pensionnaire de F-Com est là :
de l’introduction vocodérisée feat. Keith Thompson à
ce « Back And Forth » qui clôt l’album sur les gammes
de l’épatante Daniella D’Ambrosio en passant par le tribal
« Caracol », le très Garnier « Mare Alta », et
surtout l’énorme « Orm », longue épopée
hypnotique parfaitement vrillée (on pense à Byrne et Eno sur leur
My Life In The Bush Of Ghosts et c’est un compliment) …
TRAX
Avec Caracol il revient à un son plus synthétique et abstrait,
mais les textures et le travail des sons s’affinent pour gagner en énergie
des plus communicatives…
OPEN MAG
Une bombe à dominante minimale allemande mais festive… de bout
en bout touchée par la grâce du groove électonique mutant…
RENDEZ-VOUS
Une techno minimaliste et raffinée, ses mélodies ciselées
et ses beats élagués à l’extrême rivalisent
d’invention et d’audace avec les grandes figures du genre, que l’on
pense à Ricardo Villalobos ou Richie Hawtin
EPOK
Avec ce troisième album on atteind des sommets de perfection. La production
est hyper léchée, le son élégant à souhait
et les featurings vocaux au top !
MIXLETTER
Le Français tente de s’évader de Detroit et Chicago : courageux…
LES INROCKUPTIBLES
Mint Album
… Un album aux nombreux parfums tous de grand cru…
Un des albums de la rentrée sans aucun doute…
Only For DJ’s
… Le second album de deep house de ce prodige de l’écurie
F-Comm se paye le luxe de transcender ce genre de musique devenu trop contraignant
pour sa musique à imagination libre… Inutile de résister
aux charmes de "Fleur Bleue", "Turn It Round Again" ou "Love
We Have"
Rock & Folk
…Vocale, ambiancée pop, dub et jazz, la house d’Alexkid est
riche de ces nuances qui accrochent immanquablement l’oreille…
Vibrations
… C’est comme si le Kid se tournait sans vergogne vers le dancefloor,
faisant se bousculer avec une grâce et une classe folle ses influences
solaires et multiples (house, funk, jazz, world, dub, acid…), le tout
dans un bain de mélancolie deep house des plus subtiles…
Têtu
… Quand la classe rencontre l’électronique…
Jalouse
… Le second album de ce brillant musicien déroule une dance efficace
et épurée révélant de subtiles ambiances…
Zurban
… L’un des français qui nous fait croire que la musique électronique
n’est pas totalement agonisante. Son deuxième disque le prouve
de plus belle !
Optimum
… La funky house imaginée par Alexis Mauri s’inscrit distinctement
dans le sillage des meilleures productions électroniques actuelles…
Rolling Stone
… Ce skeud est une bombe !
ADDX
… Son deuxième album reflète une inspiration éclectique
et heureuse…
Epok
… Sur son deuxième album, "Mint", le jeune Alexkid dynamite
la house
Zurban
… Un disque pour prolonger l’été, dans la vénérable
tradition de la deep-house chantée des Adonis et autres Mr. Fingers,
où des mélodies charnelles sont mises en valeurs par une production
souple et ciselée, empruntant aussi bien à la techno mélodique
de Detroit qu’au funk et même au hip-hop
Libération
… Alexkid se joue des formats house contemporains, manie l’organique
et le digital avec une aisance qui force le respect, plonge dans l’abstraction
et le minimalisme pour enchaîner sur du R&B fondant…Album personnel
et abouti… Une réussite.
Trax
Mint, un disque diablement funky, aussi subtil qu’intelligent, avec un
choix d’invités qui décoiffe, un parti pris résolument
dance-floor et quelques audaces de productions qui décoiffent…
Attention, Mint est plus qu’un disque rafraîchissant…
Nova Mag
… Parfaitement maîtrisée sur album (Mint/Fcomm), sa house
redouble d’énergie en live. Le groupe s’amuse, le public
aussi, emmené par ce tourbillon joyeux de platines, percussions et synthétiseurs…
Avec MINT, le producteur parisien Alexkid confirme son amour pour le côté
lumineux de la house music…
Le Monde
… Le retour gagnant d’Alexkid… Mint est une pure merveille
d’electro, un régal de house teintée de soul, de funk black
urbain et de dub. Un disque hétéroclite et homogène, idéal
aussi bien pour le dancefloor que pour une écoute domestique… Du
grand art !
Modzik
France
Bienvenida ne ressemble pourtant en rien à l'auberge espagnole
que nous suggère la pochette… Les styles abordés le sont
avec maîtrise et finesse. Une house quasi baléarique à la
Ian Pooley (Esmeralda, Bienvenida, Nightlines) gorgée de percussions
et contrebasse, alterne avec des plages de Nu-jazz (Maybe, U's Variation, Arboré
Part 1) où les cuivres s'en donnent à cœur joie, et des ballades
soul de haute tenue (Not Every Angel, Fear In Flight).
Magic (Juillet 01)
Il faudra désormais compter avec Alexkid qui nous offre un premier album
de "house-down tempo-jungle-electro" original, à la production
particulièrement soignée. Nightlines, le morceau qui cloture l'album,
érite à lui seul de figurer dans le top ten des meilleurs titres
house-jungle (Ecoutez, vous comprendrez).
Open Mag (Juillet/Août 01)
Bienvenida donc, dans le monde cinémascope et multicolore d'Alexkid.
Bienvenida qui alterne les moments de joie enivrante ("Arboré Part
1") et les angoisses profondes de la poétesse Ursula Rucker ("Fear
In Flight"), les ballades nocturnes appaisantes ("I Think" produit
avec Dorfmeister) et la mélancolie ("U's Variation"). Alexkid
aime raconter des histoires, nous on adore les écouter…
Trax (Août/Septembre 01)
Voici enfin l'album de house que tout le monde attendait… Une véritable
auberge espagnole où se rencontrent la house, les ambiances jazzy et
downtempo, mais également des chosesplus pesonnelles comme ce "Maybe"
à l'ambiance feutrée, certainement un des meilleurs morceaux de
cet album…
Campus Mag (Juillet 01)
Une production aussi fine qu'élégante. Bienvenue dans la cour
des grands !
Coda (Eté 01)
Un premier album éclaté et riche. Sa fantasque vision de la house
est en effet sans œillères, si bien qu'il peut nourrir son inspiration
de jazz comme de dub. Ce jeunot va ensoleiller l'été…
Epok (Juillet 01)
A découvrir absolument
LX (Juillet/Août 01)
Explorateur des styles les plus divers, Alexkid truffe son électronique
d'interventions humaines, faisant de ce premier album une œuvre particulièrement
riche et compacte également marquée par la dextérité
de son auteur. Idéal en after "Bienvenida" fera l'effet d'un
coup d'épée dans l'aube…
Rock & Folk (Septembre 01)
Festif, éclairé par les lumineuses sonorités d'instruments
à vent et par les superbes voix d'Ursula Rucker et Hannifah Walidah,
le premier album d'Alexkid trouvera rapidement sa place sur l'étagère
des disques à écouter régulièrement…
Les Inrockuptibles (Septembre 01)
UK & World
Bienvenida is immaculately orchestrated, as you would expect from someone who's
worked with Richard Dorfmeister and Hector Zazou.. The showpiece torch song
Not Every Angel is truly moving…
Mojo (September 01)
Of course there are the statutory house cuts (…) but that is by no means
it, he's obviously keen to take things a little further, with the creeping,
downbeat cinematics of "Maybe", the drifting tabla moods of "I
Think" and the spoken words poetics of Ursula Rucker on "Fear in Flight"
offering more than enough variation and weight to the genre crossing cause
DJ (September 01)
DJ/producer Alexkid's debut features Ursula Rucker brilliant soul poetry, picking
up from Cinematic Orchestra, rendering the Compost back catalogue too polite.
About time.
The Face (August 01)
Track two is a sinister swampy-blues kind of thing, as is "I Think",
its successor : both are sumptuously textured, like Primal Scream worked over
by Kris Needs…
The List (August 01)
Mauri and a cast of guest musicians have created a very accomplished and imaginative
collection of songs with real emotional impact. From the slightly funeral "Maybe"
through to the sueno latino influenced "Esmeralda", this album is
bristling with ideas… Hearing the spoken words of Ursula Rucker on "Fear
in flight" is pure poetry. This woman has so much soul in her voice and
words, and the gentle, minimal production complements it perfectly
Wax (August 01)
A remarkably assured and comprehensive debut.
Burnitblue.com (September 01)
The gorgeous summery house of Esmeralda and I Think, with its chic Thievery
Corporation-style downbeat, confirm Alexkid's talent
Ministry (August 01)
Whether it's the uplifting "Sueno Latino" flavour of the opening "Esmeralda"
or the more reflective and melancholy later tracks, the crafting of this album
is superb. Standing above all else however is "Fear in flight" featuring
the spoken words poetry of Ursula Rucker. So poignant is her voice, beautifully
underpinned by the subtle and eerily minimal music, that they almost take your
breath away…
DJ Magazine (September 01)
The expansive "Arboré Part 1" hoists us into the good stuff
– pearls of sweat from Club Tropicana potent and distilled, feeling hot
hot hot. Always approaching dusk, red sun peeking over the horizon of a darkening
sea resting on a volcanic shore. Classy and confident
Flux (September 01)
Now Londoners are stuck with Craig David while stylish and talented French producers
such as Alexkid make uplifting and soulful music that goes relatively unheard.
Where's the justice ?
Wallpaper (September 01)
Discretion is the hallmark of good taste. Which is why Alexkid's Bienvenida
album, although it comes garbed in everything from deep jazz through to drum'n'bass
and filtered house, still cuts a dashing swathe rather than being an unsightly
mess.Alexkid has assembled an impressive supporting cast for Bienvenida, from
stoner supreme Richard Dorfmeister to Philadelphian poet Urusla Rucker whose
yearning vocals on "Fear in flight" weave eloquently through the twilight
mood Kid conjures up.
Jockey Slut (August 01)
>
whatididonmyholidays EP
"
Single
of the month : arboré
boasts a beautiful melody underpinned by the most insistent shuffling Afro-beats
and somptuous Rhodes. Basically it's a massive tune that deserves major attention
A must have-package
. "
(Wax Mag)
"
An excellent release which has Fela Kuti meets Dub Tribe fee ! "
(Beats And Breaks)
"
There must have been plenty of rainy afternoon on this holiday,
as what Alex did is toy with jazz, afro-beat and contemplative melodies to assemble
a fascinating EP, full of rich, beat laden grooves that worm their way quietly
into your head
Most essential
"
(7 Magazine)
>
soul college EP
"Un
son énorme et de nombreux invités pour vingt minutes defusion
musicale orgiaque et hédoniste." (Magic - Mai 99)
"l'alchimie
générée offre à l'auditeur une variété
de sensations inédites- Alexkid compose et arrange ses mélodies
avec autant d'attention et de doigté qu-un tailleur de pierres précieuses.
" ( mcm.net - Mai 99)
"Yow !
It-s a jay-azz thing y-all. Down and dirty deep house and bally-eric beats smothered
in noodly guitar bliss. Summer pressure, maximum nice-osity-" . (Melody
Maker - June 99)
"Superbe musique d'inspiration jazz-funk. " (Trax - Juillet 99)"
Alexis navigue en eaux claires entre soul/funk brillante, house gorgée
de soleil aux relents de flamenco, deep house jazzy à la Kevin Yost et
bande-son imaginaire, sombre, lente et tendue. On attend avec impatience
un album complet !" (Music Up - Summer
99)
"Soul
College ou comment condenser avec brio ce qui se fait de bien actuellement en
musique- On est conquis par tant de maestria, d'ores et déjà un
grand de la scène française-" (Keyboards Magazine - Summer
99)
"Who Said Maybe?" proves to be more dark and twisted, like a soundtrack
to some disturbing film that Tarantino never actually made.. Listen and learn"
(D.J. Magazine 99)
"Esmeralda
is an uplifting fender ridden slice of slick jazz funk with a 4/4 that links
the dancefloor antics of Charles Earland and Dimitri perfectly" (Straight
No Chaser 99)
>
castlemadeofsand EP
"...Légère comme un voile, désaltérante comme
une boisson fraîche, tonique comme un cocktail, la formule magique de
ce jeune parisien de 23 ans dope le moral et tonifie le reste ..."
(Station Service Strasbourg - Juin 98)
"...The
highlight has to be Sand Francisco which mixes a funky-ass live bassline and
solid disco/latin beats with a wicked Charles Earland style Moog solo- A brilliant
vibe...". (DJ - June 98)
"...Castlemadeofsand
is a killer record'..." (Update - June 98)
"...Original
et surprenant..." (Technoline - Summer 98)
"...apaisé,
scintillant, débarassé de salmigondis de production superflu..."
(Libération - Novembre 98)
>
playground EP
"...oscille
entre jungle et electronica et s'impose comme un excellent disque de home listening..."
(Trax - Decembre 97)
"...nouveau
témoignage de la vitalité et de la créativité des
remixers français, "Playground" ne manque pas d'arguments pour
se distinguer... Alexkid, à suivre sans aucun doute..." (L'Affiche
- Janvier 98)
"...
reach the vivid "I see", all brooding string patterns floating over
crashing funk breaks... " (New Musical Express - October 97)
"... Jazzy, cinematic, melodic, downbeat... Fascinating..." . (DJ
- October 97)
"...
gorgeous ep... the opening track "I think" is the killer - Tom Waits
meets Roni Size in a bar downtown... Fascinating" (Record Miror - October
97)